Qu’advient-il de nos ancêtres décédés dans de grandes souffrances ?

Publié le par kpalimetite.over-blog.org

[…] Il est à vrai dire bien plus difficile de naître sous forme humaine.

Cependant, quelques puissent être la forme sous laquelle nos ancêtres ont pu renaître, ou le lieu et les souffrances de cette renaissance, si nous, leurs descendants vivants, maintenons une foi correcte et prions pour qu’ils atteignent la boddhéité, notre daïmoku touchera leur vie, ôtant leurs souffrances pour leur apporter la joie. La raison en est que Nam Myoho Renge Kyo est la Loi fondamentale de l’univers, qui imprègne le cosmos tout entier.

De plus, un ancêtre réapparu sous forme animale ne peut pas réciter daïmoku lui-même. Il est donc exclusivement dépendant du daïmoku que nous lui envoyons. En même temps, le daïmoku que nous adressons à nos ancêtres nés en tant qu’êtres humains orientera leur vie de manière à ce qu’ils rencontrent le bouddhisme de Nichiren Daishonin, créent un lien avec lui et finissent par pratiquer. Par conséquent, réciter sérieusement daïmoku est la seule manière de guider nos ancêtres vers le bonheur. Ce n’est pas le nombre de tablettes funéraires en bois que nous achetons poue eux (pratique courante au Japon) qui leur fera atteindre la bouddhéité. Sinon, la bouddhéité serait une marchandise que l’on peut acheter.

En revanche, ceux qui ont conservé une foi inébranlable dans le bouddhisme de Nichiren Daishonin et ont atteint la bouddhéité en cette vie –ci, renaîtront aussitôt après leur mort en tant qu’être humain, au près du Gohonzon, et savoureront à nouveau l’immense joie de consacrer leur vie à Kosen Rufu. Ce qui permet de savoir à coup sûr si nos ancêtres ont ou non atteint la bouddhéité, comme je l’ai dit tout à l’heure, c’est le fait que nous, leurs descendants, sommes effectivement devenus heureux grâce à la pratique. C’est en soi la preuve que nos ancêtres ont atteints la bouddhéité.

 

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[…] Si l’on additionnait le nombre d’êtres vivants sur cette planète – jusqu’aux bactéries microscopiques- on obtiendrait un chiffre vraiment astronomique.

Pourtant, dans cette immense diversité de la vie, nous sommes nés sous forme humaine et avons la possibilité de pratiquer le bouddhisme de Nichiren Daishonin. Les chances d’y parvenir sont bien plus minces que de gagner [une multitude] de fois le gros lot à la loterie. C’est indubitablement grâce à notre immense bonne fortune et à notre mission profonde que nous avons la chance de rencontrer cette occasion sans égale d’atteindre la bouddhéité en cette vie. Et pourtant, certains abandonnent quand même la pratique ne sachant apprécier à quel point il est merveilleux de naître en tant qu’être humain et de pratiquer le bouddhisme de Nichiren Daishonin durant cette vie. Ces mêmes personnes seraient pourtant ravies de gagner, ne serait-ce qu’une seule fois, à la loterie. C’est vraiment regrettable. Notre existence actuelle représente une occasion sur un million d’atteindre la bouddhéité. J’espère que vous ne gaspillerez pas cette chance inouïe.

Extraits de « La nouvelle révolution humaine » vol. 3 de D. Ikeda

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